Les entreprises industrielles et manufacturières du Québec ne pourront pas compter avant 30 à 100 ans sur une contribution de la fusion thermonucléaire contrôlée afin d’accroître la quantité d’électricité disponible pour leurs projets de développement ou pour leurs plans de décarbonation par conversions énergétiques.
Le transport maritime de marchandises est de loin le mode de transport qui émet le moins de GES par tonne de marchandises transportées sur un kilomètre.
Entre le bannissement de certains plastiques et produits, l’écoconception pour prolonger le cycle de vie des plastiques et une meilleure gestion de la collecte, du tri et du recyclage, les défis sont nombreux, mais des solutions existent.
Dans un contexte où les enjeux environnementaux occupent une place prépondérante dans les débats publics, l’annonce récente de subventions et de soutien fiscal aux projets de développement de la filière batterie au Québec a suscité un vif intérêt, mais aussi Une filière qui pourra satisfaire tous les acteurs ?
Victoriaville & Co. compte 495 employés répartis dans ses usines du Centre-du-Québec (350 y œuvrent), du Nouveau-Brunswick et, depuis l’an dernier, des États-Unis
Le ralentissement économique, une inflation élevée et une hausse perpétuelle des taux d’intérêt causent des maux de tête aux entreprises manufacturières.
L’automatisation a complètement transformé le monde des affaires, offrant des opportunités pour la productivité et l’innovation de nos PME manufacturières.
Les récentes annonces de subventions et de soutien fiscal aux projets de développement de la filière batterie au Québec ont entrainé un curieux paradoxe.
Par Eric Bérard Au début du mois de décembre dernier, lors de la COP28 tenue à Dubaï aux Émirats arabes unis, le Canada s’est fait le champion d’un mouvement mondial visant à atteindre la carboneutralité de l’industrie du ciment et En route vers le béton carboneutre