Baisses de rentrées fiscales, pénurie de main-d’œuvre qualifiée, pression accentuée sur les programmes sociaux, le décrochage scolaire est un phénomène préoccupant qui entraîne des répercussions socioéconomiques notables. Avec un taux réel de diplomation d’à peine 74,7 %, le Québec est loin derrière l’Ontario, qui affiche un taux de diplomation de 84 %.