Avant même son élection en novembre 2016, le Président américain, Donald Trump, avait clairement indiqué sa position face à l’ALENA : un traité qui, selon lui, bafouait les Américains sur presque toute la ligne. Plusieurs secteurs sont alors immédiatement devenus des cibles privilégiées : bois d’œuvre, la gestion de l’offre sur les produits laitiers et la volaille, et biens d’autres. Toutefois, depuis le printemps dernier, le géant américain Boeing a ajouté une nouvelle corde à l’arc de l’administration américaine : l’aéronautique.