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Le député de Trois-Rivières, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, au nom de la ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie, Mme Christine Fréchette, annonce un appui financier permettant d'offrir aux chercheurs et aux entrepreneurs du Québec des installations de pointe pour réaliser des projets de recherche en transition énergétique, par exemple en matière de valorisation des minéraux critiques et stratégiques.
« L'UQTR, l'INRS et le Cégep de Trois-Rivières sont des organisations phares dans la transition énergétique au Québec. L'université est d'ailleurs l'un des membres fondateurs de la zone d'innovation de la Vallée de la transition énergétique. Sa proximité avec les intervenants des milieux industriel et de l'enseignement en fait un acteur incontournable pour les initiatives liées à ce domaine prioritaire pour le gouvernement du Québec. », a mentionné Jean Boulet, député de Trois-Rivières, ministre du Travail et ministre responsable de la région de la Mauricie.
Cette dernière est une priorité annoncée par le gouvernement dans le cadre de sa nouvelle vision économique.
« La réussite de la transition énergétique du Québec repose sur notre capacité à innover et à soutenir la recherche. En dotant nos établissements de nouvelles infrastructures de calibre international, nous donnons à nos chercheurs et à nos partenaires les outils nécessaires pour transformer notre économie. Je me réjouis de voir un nombre croissant d'acteurs se mobiliser pour bâtir un avenir plus vert et prospère pour l'ensemble de nos régions. », a souligné Christine Fréchette, ministre de l'Économie, de l'Innovation et de l'Énergie.
Pour favoriser la recherche, le soutien gouvernemental permettra, d'une part, d'acquérir des équipements scientifiques et, d'autre part, d'implanter une plateforme de recherche technologique.
« À Trois-Rivières, nous avons bâti un écosystème de collaboration solide en recherche énergétique, où les milieux universitaire, collégial et industriel travaillent main dans la main. L'Unité mixte de recherche INRS-UQTR renforce cette dynamique et crée une synergie qui augmente la portée de nos travaux en enrichissant les expertises au sein de notre établissement dans le développement et l'évolution de la batterie dans l'écosystème énergétique. Nous accueillons avec enthousiasme ce soutien, qui reconnaît la force de cette collaboration et nos efforts pour accélérer la transition énergétique au Québec. », a confirmé Christian Blanchette, recteur de l'UQTR.
Celle-ci agira comme pièce maîtresse pour l'atteinte des objectifs du Québec en matière de transition énergétique et constituera un actif supplémentaire important qui viendra bonifier l'écosystème de recherche et d'innovation de la Vallée de la transition énergétique.
« Ces investissements démontrent clairement que l'Unité mixte de recherche, une initiative portée par l'INRS, est un modèle qui fonctionne. En misant sur une collaboration étroite entre nos établissements, nous avons créé un milieu de recherche solide qui rassemble expertise, innovation et ancrage régional. L'appui du gouvernement confirme la pertinence de cette approche et permettra d'accélérer le développement de solutions concrètes pour soutenir la transition énergétique du Québec. » , a rajouté Luc-Alain Giraldeau, directeur général de l'INRS.
Grâce à ce projet porté par l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) et le Cégep de Trois-Rivières, on peut s'attendre à une augmentation considérable du nombre de projets de recherche réalisés en collaboration avec différents partenaires locaux et internationaux, à la création et à la consolidation d'emplois de haut niveau, de même qu'au maintien de la position du Québec comme chef de file de la transition énergétique.
« Innofibre et le Centre de métallurgie du Québec du Cégep de Trois-Rivières collaborent étroitement avec les entreprises privées afin de soutenir leur transition énergétique et leurs objectifs de décarbonation. Grâce à cet investissement dans les infrastructures de recherche, de nouveaux équipements de pointe pourront être acquis, ce qui nous donnera la capacité d'augmenter le nombre de projets de recherche réalisés. Cela nous permettra également d'accroître notre offre de services afin de répondre aux besoins d'un plus grand nombre d'entreprises. » , a conclu Jean-Philippe Jacques, directeur général d'Innofibre du Cégep de Trois-Rivières.