Plus de 27 M$ pour de nouvelles installations chez Biopterre

Crédit photo : page LinkedIn MEIE

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Le ministre responsable de la Jeunesse et ministre délégué à l’Économie et aux Petites et Moyennes Entreprises, M. Samuel Poulin, et le député de la Côte-du-Sud, M. Mathieu Rivest, annoncent un investissement de 27 234 341 $ au Cégep de La Pocatière afin d’appuyer la construction de nouvelles infrastructures de recherche à son centre collégial de transfert de technologie (CCTT) affilié, soit Biopterre – Centre de développement des bioproduits.

« Investir dans la recherche et l’innovation fait partie des priorités de notre gouvernement pour propulser le Québec comme leader dans des domaines d’avenir tels que les bioressources. Notre soutien au Cégep de La Pocatière et à Biopterre pour optimiser leurs infrastructures de recherche en témoigne et permettra de renforcer la compétitivité de nos PME dans ce secteur clé tout en continuant de bâtir cette économie du savoir, qui fait la fierté du Bas-Saint-Laurent et de tout le Québec. », a déclaré Samuel Poulin, ministre responsable de la Jeunesse et ministre délégué à l’Économie et aux Petites et Moyennes Entreprises.

Le projet, évalué à plus de 33 millions de dollars, comprend la construction de nouvelles serres écoénergétiques et d’un bâtiment intégrant l’ensemble des bureaux et des laboratoires de Biopterre de même que l’acquisition d’équipements scientifiques visant à stimuler davantage la recherche appliquée dans le domaine des bioressources.

« Depuis près de vingt ans déjà, Biopterre est un lieu de référence pour les entreprises de notre région et de partout au Québec, qui y trouvent des solutions innovantes pour accroître leur performance dans le secteur des bioressources. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme qu’on appuie ce projet d’infrastructures, grâce auquel le Centre sera encore mieux outillé pour faire croître et prospérer nos entreprises de la Côte-du-Sud. », a mentionné Mathieu Rivest, député de la Côte-du-Sud.

Grâce à ces nouvelles installations, Biopterre disposera d’un milieu toujours plus dynamique pour réaliser ses activités de recherche et de transfert de technologie, ce qui favorisera assurément l’attraction de nombreux étudiants et scientifiques.

« Le Cégep de La Pocatière et Biopterre sont des acteurs clés pour stimuler la recherche et l’innovation au Bas-Saint-Laurent. Nous sommes donc extrêmement fiers d’appuyer leur projet d’infrastructures, qui viendra concrétiser davantage notre vision collective : celle d’assurer une gestion toujours plus responsable et durable des bioressources, un secteur stratégique pour l’économie de notre région. », a rajouté Amélie Dionne, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.

Les infrastructures permettront également de renforcer les collaborations avec les partenaires des milieux industriel, de l’enseignement, de la recherche et de l’innovation.

« Ce projet d’infrastructures marque une étape déterminante pour Biopterre et notre Cégep. Il témoigne de notre volonté de créer un environnement de recherche à la fine pointe et propice à l’innovation, à la collaboration et à la formation de la relève scientifique. En investissant dans ces installations, nous renforçons notre rôle comme acteur clé du développement régional et comme moteur de l’économie du savoir. », a souligné Steve Gignac, directeur général du Cégep de La Pocatière.

Cela rejoint de près l’objectif de la Stratégie québécoise de recherche et d’investissement en innovation 2022-2027 (SQRI2), soit connecter les acteurs et les actrices du cycle de l’innovation pour rendre les entreprises encore plus productives et compétitives dans des secteurs clés, dont celui des bioressources.

« La construction de ces nouvelles installations, dotées d’équipements à la fine pointe de la technologie, constitue un investissement structurant pour Biopterre. Ce projet d’envergure permettra d’accroître nos capacités de recherche, de consolider nos équipes et de poursuivre notre mission visant à renforcer la compétitivité des entreprises en bioressources. », a conclu Maxim Tardif, directeur général par intérim de Biopterre.