« Avec plus de 2800 stages réalisés en entreprise par 2000 étudiants ces 15 dernières années, le succès du modèle proposé par le l’IAM-MAI est clair. C’est un véritable guichet unique, qui facilite l’accès des entreprises aux meilleurs étudiants du Québec. Je suis sûre que les PME en particulier, vont y voir de nombreux avantages », a souligné Mme Sauvé.
Les projets en entreprise sont au cœur des activités de l’IAM-MAI, selon Sylvain Larochelle, directeur du bureau de la collaboration technologique chez Pratt & Whitney Canada.
« Les étudiants de l’IAM-MAI sont intégrés à nos équipes dans un grand nombre de départements, en ingénierie bien sûr, mais aussi aux achats, au service à la clientèle et ailleurs. Ils sont polyvalents, souvent expérimentés grâce à d’autres stages issus de l’IAM-MAI, et ils apportent une contribution concrète, très appréciée des superviseurs. »
Le succès de l’IAM-MAI repose notamment sur le concept de guichet unique pour les entreprises. En effet, chaque université est représentée au sein du regroupement par un institut, lequel sélectionne les meilleurs étudiants sur la base de leurs résultats académiques, leurs expériences et connaissances techniques, leur esprit d’équipe et leurs aptitudes de gestion.
Fondé en 2001 par Hany Moustapha, alors chez Pratt & Whitney Canada et actuellement professeur et directeur d’AÉROÉTS et membre du Chantier Relève et main-d’œuvre d’Aéro Montréal, l’IAM-MAI regroupe des membres industriels et universitaires unis par la conviction qu’il faut créer des ponts solides entre les étudiants les plus talentueux et les entreprises. En plus des grands partenaires industriels cités plus haut, l’IAM-MAI regroupe les instituts montréalais suivants : AÉROÉTS à l’École de technologie supérieure, le CIADI à l’Université Concordia, l’IICAP à l’École Polytechnique de Montréal et le MIAE à l’Université McGill. Plus récemment, l’IAM-MAI a accueilli dans ses rangs deux autres universités québécoises, l’Université de Sherbrooke et l’Université Laval à Québec.